Exosquelettes : réduire la douleur et prévenir les risques

L’expérience de ces 5 années montre que nos clients qui ont franchi le pas ne se contentent pas d’une simple acquisition.

Ils pérennisent l’usage des exosquelettes et en élargissent progressivement le déploiement.

Ce succès repose sur un accompagnement continu, car l’adhésion des opérateurs est un défi en soi. Ceux qui s’approprient ces solutions sont souvent ceux qui souffrent déjà et qui, sans cette aide, risqueraient d’être contraints d’arrêter leur activité.

Prévention primaire : un enjeu encore sous-estimé

Bien que personne ne veuille souffrir au travail, l’adoption des exosquelettes se heurte encore à des résistances. Le mythe du « jeune indestructible » est bien ancré : tant qu’une blessure ne s’est pas déclarée, le besoin d’un exosquelette semble abstrait. Pourtant, les études montrent qu’une utilisation préventive réduit considérablement les risques et la douleur.

Un facteur clé d’adhésion : l’expérience terrain

Le moment décisif survient lorsqu’un opérateur, après un essai en conditions réelles, réalise par lui-même :
« Oh, finalement, c’est pas mal… ce truc pourrait m’aider ! »

L’obstacle majeur : penser qu’un exosquelette s’intègre naturellement

Pour qu’un exosquelette soit adopté durablement, trois conditions sont essentielles :

• Confortable : L’opérateur doit se sentir à l’aise,
• Efficace : Le bénéfice perçu doit être immédiat et tangible,
• Simple : Moins il y a de réglages, plus l’adoption est facile.